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La perte de biodiversité s’accélère, en cause : les activités des entreprises qui ont un impact négatif, plus ou moins direct, plus ou moins fort, sur le vivant. Or ces mêmes entreprises sont dépendantes du capital naturel et des services rendus par la nature… C’est cette double approche qui doit être au cœur de la réflexion de l’investisseur pour prendre en compte la menace de la perte de biodiversité sur la prospérité de l’humanité.
- Comment quantifier l’impact d’une entreprise sur le vivant ?
- Comment peut-on envisager le nouveau rôle d’investisseur par le prisme de cet impact ?
- Quels sont les services écosystémiques rendus par la nature ?
- Quel est le rôle de l’investisseur dans l’identification des dépendances entre nature et performance économique ? Et dans la protection de la biodiversité ?
- Quelle capacité pour un gérant d’actifs, de convaincre qu’une meilleure protection du vivant, voire de sa restauration, est un moyen de créer de la valeur ?
- Comment la redéfinition en cours du « financement » de la biodiversité, bouscule le métier de gérant, la raison d’être des entreprises et la conscience de l’épargnant ?
Décryptages, analyses et réflexions avec les experts de LBPAM et de Tocqueville Finance : Alvaro RUIZ-NAVAJAS, et Mehdi CHAITI, Gérants du fonds Tocqueville Biodiversity ISR.
La présentation d’un cas d’école de l’intégration de la biodiversité chez LBPAM & Tocqueville Finance sera suivie d’un moment d’échanges sous la forme d’une séance de questions / réponses.